Il convient d’annoncer le Christ dans la vérité et la charité. C’est l’alpha et l’oméga de la mission. Il faut se comporter comme le rappelle Saint Paul dans son épître à Tite concernant la conduite du responsable de communauté.
(04:20) Mahomet se prétend le sceau des prophètes. Or depuis, il y a eu des prophètes chez les mormons et les témoins de Jéhovah. Le dernier n’a pas nécessairement raison.
L’islam ne s’inscrit pas dans la continuité du judaïsme et du christianisme, mais au contraire en rupture.
(04:45) première rupture avec Abraham. Les musulmans se réclament d’Ismaël, le fils de l’esclave alors que les juifs et les chrétiens invoquent Isaac, le fils de l’Alliance et dont le sacrifice préfigure le sacrifice du Christ qui est allé jusqu’à son achèvement.
(06:55) deuxième rupture avec Moïse qui est cité plus de cent quarante fois dans le Coran. Or le Coran ne mentionne pas les dix commandements, ce qui est surprenant vu l’importance accordée à Moïse.
(07:50) troisième rupture avec le Christ dont le nom Jésus (Dieu sauve) est remplacé par celui de Issa auquel il est reconnu une naissance virginale et des dons de thaumaturge mais dont la mort en croix est niée (un sosie aurait pris sa place ) ainsi que sa nature divine.
(09.00) quatrième rupture avec le Coran qui non seulement ne cite pas les dix commandements mais les contredit tous. A partir de nombreuses citations du Coran et des hadiths, le conférencier montre que Dieu est instrumentalisé puisque la parole du « messager » a la même importance que Dieu lui-même. Le jour saint de l’islam (le vendredi) est en contradiction avec la tradition biblique de la création du monde. Un musulman n’honore ses parents que pour autant qu’ils restent dans la voie de l’islam. Le verset souvent cité (pour prouver que l’islam est une religion de paix et d’amour) qui dit que tuer un homme c’est comme tuer toute l’humanité est immédiatement suivi du verset qui ordonne de tuer les opposants à Allah et à son messager. Non seulement de les tuer mais de les crucifier et de leur couper un bras et une jambe opposés. L’adultère n’existe pas pour l’homme qui peut avoir des rapports avec ses épouses et ses esclaves. Presque toujours, dans les pays soumis à la charia, ce sont les femmes qui sont lapidées pour avoir commis l’adultère. Le vol n’est pas condamné puisque 20 pour cent du butin est toujours réservé à Allah et à son messager. Il est licite de mentir surtout à un infidèle pour se protéger (Taquîya) tant que les musulmans ne sont pas en situation de domination. Enfin, on peut convoiter la femme de son prochain, à preuve Mahomet qui a conduit son fils adoptif à répudier sa femme car il voulait en prendre possession ; avec l’assentiment d’Allah bien sûr.
(38.00) 600 ans après la venue du Christ qui prêche une religion d’amour de Dieu et du prochain, l’islam vient balayer tout cela pour le remplacer par la soumission à une loi qui ne peut conduire à la connaissance et à l’amour de Dieu. L’islam remplace la loi de l’amour par l’amour de la loi.
(40.50) la mission auprès des musulmans s’appuie sur de petits supports papier comprenant les dix commandements, la prière dite de Saint François d’Assise et une belle prière que Saint Augustin adresse à Dieu pour mieux L’aimer et Le connaître.